La grossesse d’Emma ne se déroule pas correctement. Tout va vite, trop vite pour Jules qui perd le contrôle de sa vie. Rongé par les doutes, l’esprit tiraillé par ses interrogations, il n’a pas d’autre choix que de se fier à ses amis.
Pendant ce temps, convoqués par leurs supérieurs, les Ghosts retournent aux États-Unis. Ils vont découvrir, au péril de leurs vies, un complot aux intérêts politiques à l’origine de l’affrontement entre le groupe de Jules et celui d’Anna.
De son côté, avide de pouvoir, Anna part à la recherche de la capacité qui lui permettra de se venger de l’humiliation que Jules lui a fait subir et de contrôler l’enfant de la destinée.
Leurs chemins vont une dernière fois se recouper, permettant enfin d’élucider le testament laissé par Galilée il y a plus de 400 ans !
Le dernier volume de la saga du Testament de Galilée de Sébastien Tissandier, en passe de devenir un monument de la littérature d’évasion.
Pendant ce temps, convoqués par leurs supérieurs, les Ghosts retournent aux États-Unis. Ils vont découvrir, au péril de leurs vies, un complot aux intérêts politiques à l’origine de l’affrontement entre le groupe de Jules et celui d’Anna.
De son côté, avide de pouvoir, Anna part à la recherche de la capacité qui lui permettra de se venger de l’humiliation que Jules lui a fait subir et de contrôler l’enfant de la destinée.
Leurs chemins vont une dernière fois se recouper, permettant enfin d’élucider le testament laissé par Galilée il y a plus de 400 ans !
Le dernier volume de la saga du Testament de Galilée de Sébastien Tissandier, en passe de devenir un monument de la littérature d’évasion.
Mon avis
Le troisième volume du « Testament de Galilée » intitulé « L’enfant » reste dans la continuité des deux tomes précédents. Nous retrouvons les personnages peu de temps après l’affrontement final du deuxième tome. Sébastien Tisandier prend le temps, en ce début de roman, de les laisser se remettre du choc qu’ils ont subi et d’assimiler ses conséquences.
Ce volume se centre, comme son titre l’indique, sur l’enfant d’Emma et Jules, de la grossesse classée hors norme du fait de sa croissance accélérée, à ses influences sur les possesseurs de capacités.
La narration adoptée dans ce volume garde la particularité de proposer un point de vue à la première personne pour Jules et à la troisième personne pour les autres personnages. Elle s’impose parfaitement au lecteur car la continuité dans l’écriture et une alternance régulière entre les deux aident le lecteur, sans le surprendre quand elle change. Je l’ai trouvée moins déstabilisante que dans le deuxième tome, car elle coule naturellement à la lecture. Et Jules apparaît clairement comme le personnage central, aux côtés de son enfant.
La narration reste de plus agréable, rythmée et équilibrée, avec des descriptions judicieuses et des dialogues vivants qui témoignent d’une belle complicité entre les personnages. Même le lecteur serait capable de les comprendre à demi mot.
L’auteur reste fidèle à leur caractérisation et soigne aussi bien leurs relations que l’aspect psychologique.
Le roman repose sur beaucoup d’action, ce qui explique un bon rythme et un attention toujours constante du lecteur.
Le tout est porté par un style fluide, efficace, agréable à la lecture.
Sébastien Tissandier a mis l’accent sur certains personnages
On retrouve Jules, comme toujours, autour de qui gravite son petit groupe d’amis. Jules, qui se sent bien impuissant et frustré, toujours soucieux de protéger sa famille et ses amis.
Kurtis sera là, bien sûr, pour le soutenir. Leur belle complicité continue, pour notre grand plaisir.
Au-delà de Jules, son enfant prend une place de plus en plus importante au sein du groupe. C’est un personnage à part entière, même quand il se trouve dans le ventre de sa mère. Il impose sa présence et ses ondes positives et réconfortantes aux membres du groupe, mais aussi et surtout apporte son aide dans les moments décisifs. Le lecteur apprend à l’apprécier, avant même sa naissance.
De plus, la relation entre Jules et son enfant se met en place peu à peu et gagne en intensité au fil du roman.
Anna et Hector continuent leur chasse aux capacités. Anna engrange des pouvoirs de plus en plus dangereux et forme même une armée. L’enfant l’intéresse particulièrement et elle tente de s’en emparer par tous les moyens. Pourtant, d’autres adversaires, plus puissants encore, se profilent à l’horizon. Ce qui ne présage rien de bon.
Parmi les personnages très présents dans ce troisième tome, on peut également citer Jaden Duke, qui occupe une place particulière dans le récit. Membre des Ghosts et protégé du capitaine Andersen, il passe par des moments forts (de joie et de tristesse) et réserve des surprises au lecteur.
En conclusion, le roman est agréablement construit et les personnages toujours aussi attachants. La lecture fut trépidante, un peu trop courte à mon goût, car j’aurai aimer accompagner encore ces personnages que j’ai appris apprécié sur ces trois volumes. Mais le dernier volume du « Testament de Galilée » ne marque pas la fin du cycle puisqu’une nouvelle série nommée « Les héritiers de Galilée » permettra de continuer l’aventure. Évidemment, je la lirai avec plaisir. Je remercie le forum « Au cœur de l’imaginarium » et les éditions « L’ivre-book » pour cette excellente lecture.
Ce volume se centre, comme son titre l’indique, sur l’enfant d’Emma et Jules, de la grossesse classée hors norme du fait de sa croissance accélérée, à ses influences sur les possesseurs de capacités.
La narration adoptée dans ce volume garde la particularité de proposer un point de vue à la première personne pour Jules et à la troisième personne pour les autres personnages. Elle s’impose parfaitement au lecteur car la continuité dans l’écriture et une alternance régulière entre les deux aident le lecteur, sans le surprendre quand elle change. Je l’ai trouvée moins déstabilisante que dans le deuxième tome, car elle coule naturellement à la lecture. Et Jules apparaît clairement comme le personnage central, aux côtés de son enfant.
La narration reste de plus agréable, rythmée et équilibrée, avec des descriptions judicieuses et des dialogues vivants qui témoignent d’une belle complicité entre les personnages. Même le lecteur serait capable de les comprendre à demi mot.
L’auteur reste fidèle à leur caractérisation et soigne aussi bien leurs relations que l’aspect psychologique.
Le roman repose sur beaucoup d’action, ce qui explique un bon rythme et un attention toujours constante du lecteur.
Le tout est porté par un style fluide, efficace, agréable à la lecture.
Sébastien Tissandier a mis l’accent sur certains personnages
On retrouve Jules, comme toujours, autour de qui gravite son petit groupe d’amis. Jules, qui se sent bien impuissant et frustré, toujours soucieux de protéger sa famille et ses amis.
Kurtis sera là, bien sûr, pour le soutenir. Leur belle complicité continue, pour notre grand plaisir.
Au-delà de Jules, son enfant prend une place de plus en plus importante au sein du groupe. C’est un personnage à part entière, même quand il se trouve dans le ventre de sa mère. Il impose sa présence et ses ondes positives et réconfortantes aux membres du groupe, mais aussi et surtout apporte son aide dans les moments décisifs. Le lecteur apprend à l’apprécier, avant même sa naissance.
De plus, la relation entre Jules et son enfant se met en place peu à peu et gagne en intensité au fil du roman.
Anna et Hector continuent leur chasse aux capacités. Anna engrange des pouvoirs de plus en plus dangereux et forme même une armée. L’enfant l’intéresse particulièrement et elle tente de s’en emparer par tous les moyens. Pourtant, d’autres adversaires, plus puissants encore, se profilent à l’horizon. Ce qui ne présage rien de bon.
Parmi les personnages très présents dans ce troisième tome, on peut également citer Jaden Duke, qui occupe une place particulière dans le récit. Membre des Ghosts et protégé du capitaine Andersen, il passe par des moments forts (de joie et de tristesse) et réserve des surprises au lecteur.
En conclusion, le roman est agréablement construit et les personnages toujours aussi attachants. La lecture fut trépidante, un peu trop courte à mon goût, car j’aurai aimer accompagner encore ces personnages que j’ai appris apprécié sur ces trois volumes. Mais le dernier volume du « Testament de Galilée » ne marque pas la fin du cycle puisqu’une nouvelle série nommée « Les héritiers de Galilée » permettra de continuer l’aventure. Évidemment, je la lirai avec plaisir. Je remercie le forum « Au cœur de l’imaginarium » et les éditions « L’ivre-book » pour cette excellente lecture.
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